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Créé le : 09/11/2014 21:41
Modifié : 10/11/2014 06:32

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Rollerblading Rottweiler

10/11/2014 02:17

Rollerblading Rottweiler


http://www.youtube.com/watch?v=Vf1A0nZBg5k






Course de lévriers en ralenti slow motion

10/11/2014 02:12



cette vidéo reprend une très belle course de chiens en Angleterre, des lévriers qui se battent pour passer la ligne d'arrivée en premier ! Une course avec des effets enralenti slow motion qui permettent de juger de l'agressivité et de la beauté des lévriersqui peuvent atteindre 90km/h en vitesse de pointe  ! :)

http://www.videobuzzy.com/Course-de-levriers-en-ralenti-slow-motion-6580.news






l'homme loup / La femme loup

10/11/2014 02:09



l'homme loup.

partie 1: http://www.dailymotion.com/video/xaxerf_l-homme-loup-1-de-3_news

parite 2: http://www.dailymotion.com/video/xaxepp_l-homme-loup-2-de-3_animals

partie 3: http://www.dailymotion.com/video/xaxelz_l-homme-loup-3-de-3_animals

 






donner de la viande à un chien

10/11/2014 02:03



Donner de la viande crue à son chien ?

présenté par

Le chien est un carnivore et mangeait de la viande à l’état sauvage. Il est doté de dents conçues pourdéchirer et broyer, de puissantes mâchoires, d’un petit estomac très musculeux, de courts intestins (pour éviter la putréfaction de la viande fraîche), et par-dessus tout de puissants sucs digestifs, qui peuvent dissoudre des os massifs.

Pourquoi donner de la viande crue à son chien ?

Présents dans la gueule et dans l’estomac, ces acides sont fortement antiseptiques et peuvent même digérer la chair d’un animal malade sans effets secondaires. Mais contrairement aux herbivores qui peuvent avaler d’énormes quantités de nourriture, le petit estomac du chien ne peut recevoir que des quantités réduites.

En conséquence, la règle générale est de lui donner de petites rations d’aliments concentrés, parmi lesquels la viande crue figure en tête de liste. Distribuée en bloc avec les os, elle fait fonctionner à pleine capacité l’estomac et ses sucs digestifs, les intestins, les mâchoires et les dents. Si une autre nourriture est substituée, il y a détérioration des organes de digestion du carnivore.

La viande doit représenter 75 % du régime alimentaire. Issue d’un herbivore bien nourri (herbe verte, céréales complètes, eau de source…), elle constitue une nourriture très concentrée. Elle contient la cellulose des végétaux ingérés que les chiens ne digèrent que difficilement et en petite quantité à l’état brut, transformés en protéines et facilement assimilables. L’animal évacue les résidus de la viande ingérée en 8 heures.

La viande doit impérativement être donnée crue, sinon elle perd ses bénéfices, comme le lait pasteurisé et longue conservation d’ailleurs. Le chauffage (cuisson, pasteurisation) tue une partie des bons nutriments. Selon Juliette de Baïracli Levy, la viande cuite a des effets délétères sur le système digestif du chien : odeur corporelle désagréable, mauvaise haleine, dépôt de tartre, vieillissement précoce (problèmes rénaux, problèmes de vue et d’audition), et même vers !

Les meilleures viandes crues pour le chien

Lapins et lièvres donnés entiers et encore chauds. Le poil et la peau protègent le système digestif du chien des perforations par les os pointus. Ils auraient même des propriétés laxatives… Si vous achetez un lapin déjà dépouillé, trempez-le dans de l’eau bouillante pour en restaurer l’élasticité. Ajoutez du son de blé ou des flocons d’avoine pour enrober les os. Adoptez le même traitement pour la volaille.

La poitrine de mouton (avec les os), les têtes coupées en deux (yeux, cervelle), la joue de boeuf (avec l’os). Pour les races miniatures, préférez le lapin et le poulet.

Les entrailles des herbivores : la panse crue non lavée (interdite à la commercialisation en France), les intestins de lapin et de lièvre. Il y a certes un risque de vers plats, mais le chien élevé au Natural Rearing est résistant et plein de santé. Très prisées par les chiens, les entrailles d’herbivores constituent une source d’amidon prédigéré et d’herbes vertes, mais il est recommandé de n’en donner que de petites quantités. Sur une proie, les canidés sauvages (coyotes, renards…) les recherchent avec avidité au même titre que les yeux (vitamine A, phosphore et iode), le foie et les glandes endocrines.

Le foie : les chiens raffolent de cet abat contenant de nombreux minéraux et vitamines. Attention, ne donnez que du foie de qualité, provenant d’un animal sain, de préférence fermier, car cet organe peut contenir des substances toxiques si ce dernier était élevé en batterie ou malade. Le foie de moutonpeut être parasité par un dangereux parasite : la douve. Donnez-le en petites quantités car il peut déclencher des diarrhées (pas plus de deux fois par semaine).

Tripes et gorge : Si elles sont crues, fraîches et tendres. À couper en petits morceaux.

Les pattes de poulet et os tendres sont une excellente source de calcium. Donnés crus, les os sont la brosse à dents des chiens et des chats. L’exercice exécuté par la mâchoire la renforce et favorise une bonne longueur de chanfrein. Les os conseillés sont les os mous et les plats (côtes), mais pas les gros os durs, remplis de moelle, qui abîment les dents. Les os qui se cassent et/ou assez petits pour être avalés entiers doivent être évités (risque mortel de perforation).

Oui à la demi-tête de mouton (les chiens aiment la cervelle). Une vieille méthode pour nourrir lesFox-Terriers consistait à faire bouillir longuement une brebis entière avant de verser le jus et la viande sur des flocons d’avoine.

Ne donnez pas d’os quand le chien a l’estomac vide. Le mieux est de donner la viande attachée sur l’os.

 






American pit bull terrier

10/11/2014 01:59



American pit bull terrier

(copié collé)
Descriptif:
En France, le Pit Bull (également orthographié pitbull dans le langage courant) n'est pas considérée comme une race de chiens à proprement parler (classification de la Fédération cynologique internationale) mais regroupe un ensemble de « types » de chiens sélectionnés à l'origine comme chiens de combat. On trouve donc plusieurs variantes du pit bull, mais qui ont toutes en commun d'être issues de multiples croisements de chiens de type terrier et bulldogs.

Aux États-Unis, l'American Pit Bull Terrier est une race reconnue qui se décline sous différents types, allant du plus massif au plus agile. Il s'agit d'un type de chien de taille et de poids moyen (de 40 à 50 cm au garrot pour un poids allant de 17 à 40 kilos), puissant, avec un poil court et pouvant recouvrir toutes les robes. Ce chien est aujourd'hui sélectionné pour ses extraordinaires capacités physiques, son fort instinct de jeu et sa difficulté à être éduqué. Véritable emblème des États-Unis et des pionniers, on retrouve l'American Pit Bull Terrier dans de nombreuses activités : chien de sport et de travail tout d'abord, chien de police, chien détecteur de stupéfiants, chien de recherche en décombres et chien thérapeute pour malades en difficulté.

Suite aux polémiques survenant en France à partir du milieu des années 1990 concernant sa possible utilisation comme arme, tous les chiens présentant des caractéristiques ayant trait aux différentes variantes du Pit Bull sont désormais soumis à restrictions sur le territoire français (loi de 1999 concernant les chiens dits dangereux).

Pour en savoir plus, consultez la fiche de l’American Pit Bull Terrier sur Wamiz.
Historique

Bien que l'histoire du Pit Bull et de son ancêtre le Bulldog (à ne pas confondre avec les races brachycéphales telles que nous les connaissons aujourd'hui) soit relativement bien documentée, il existe des divergences d'opinion notables à ce propos. C'est pourquoi nous nous efforcerons ci-après de détailler les différentes versions existantes. Une partie de l'explication concernant ces divergences d'opinion réside dans le fait que la plupart des chiens étaient, à l'époque, classifiés et nommés selon leur apparence générale et le travail pour lequel ils étaient sélectionnés plutôt que par « race » (telle qu'on l'entend aujourd'hui). Historiquement, les mots « terrier » et « bulldog » étaient utilisés assez fréquemment, mais ont une signification ambiguë. Il est donc difficile de remonter la trace exacte des ancêtres du Pit Bull.

Quoi qu'il en soit, c'est l'histoire qui explique le travail pour lequel a été conçue cette race. Et ce type de travail permet de comprendre différents tempéraments tels que l'intelligence, l'instinct de prédation, la réponse au stress, les instincts sociaux et l'agression contre les autres chiens.

En faisant quelques recherches, le lecteur constatera que les chiens de type molossoïde apparaissent dans les écrits et l'art depuis des siècles. Avant Jésus-Christ déjà, les romains, impressionnés par la puissance des chiens britanniques, les ont importés et utilisés dans les arènes de Rome ou comme chiens de guerre. Ces chiens, croisés avec les chiens Romains et réexportés dans toute l'Europe, dont la Grande-Bretagne, ont sans aucun doute contribué à la création du Bulldog, lui-même élément principal utilisé dans le développement du Pit Bull.

Aux environs de 1406, Edmund de Langley, Duc de York, publia un essai dans lequel il décrivait l'Alaunt, un descendant des anciens molossoïdes. Sur une peinture datant de 1585, des chiens décrits comme étant des Alaunts, très ressemblants au Pit Bull moderne, sont montrés en train de chasser des sangliers sauvages. L'Alaunt semble être le lien entre les anciens molossoïdes et le Bulldog. De physionomie semblable mais de taille plus grande (type Danois), les Alaunts étaient utilisés pour la chasse et la garde de troupeaux. En outre, ils étaient très sociables avec l'être humain.

Le nom « Bulldog » a été mentionné pour la première fois dans un écrit datant de 1631. Par la suite, des chiens décrits comme des Bulldogs étaient utilisés dans des combats contre des taureaux ou des ours. En 1632, dans une lettre à son ami George Wellingham, un Anglais dénommé Prestwich Eaton demande un « bon Mastiff et deux Bulldogs ». Ce qui indique qu'à cette époque déjà, il existait une différenciation entre les deux types de chiens et que le Bulldog était déjà reconnu comme un type bien distinct.

Le Bulldog était similaire à l'Alaunt, excepté le fait qu'il était plus petit, plus rapide et plus agile. En observant certaines peintures de l'époque, on peut déjà observer deux types de Bulldogs. Certains étaient larges, avec des os lourds et plus courts sur patte. Il est probable que ces chiens soient à l'origine de l'English Bulldog actuel, créé par le biais du croisement entre l'Alaunt et une race brachycéphale chinoise, le Pai Dog. D'autre part, on trouve des représentations de Bulldogs plus fins, avec des traits moins marqués et des pattes plus longues. Ces chiens sont-ils les ancêtres de notre Pit Bull actuel ? Tout laisse à le penser. Mais il faut noter qu'à cette époque, les Bulldogs n'appartenaient pas à une race en particulier. C'était des types de chiens, élevés et sélectionnés sur des aptitudes plutôt que sur des lignées ou des pedigrees.

Ils devinrent ainsi des chiens extrêmement polyvalents : élevés autant pour le combat, la garde de troupeau, la chasse ou comme chiens de ferme, les Bulldogs n'en étaient pas moins d'excellents chiens de famille. Les chiens de type Mastiff étaient quant à eux utilisés principalement pour la garde. Les Bulldogs étaient des animaux agréables à vivre et d'une loyauté incomparable envers l'être humain. Puisqu'ils faisaient partie de la famille, on commença déjà à cette époque à éliminer de la sélection tout chien montrant une quelconque agressivité envers l'être humain. L'extrême loyauté et l'amour inconditionnel dont faisait montre le Bulldog envers les êtres humains est une caractéristique primordiale qui se retrouve aujourd'hui - s'il a été élevé et sélectionné correctement - chez le Pit Bull.

Les ancêtres du Pit Bull

Les Bulldogs étaient agressifs envers les autres animaux, mais étaient souvent utilisés par paires pour le combat contre les taureaux et en meute pour la chasse. Ainsi, l'agression contre les autres chiens n'était pas un trait de caractère spécifique au Bulldog.

Beaucoup d'attention fut portée au Bulldog de l'époque à cause des sports de combats, la littérature à son sujet faisant le plus souvent mention des combats contre les taureaux. En réalité, si le combat contre les taureaux était à ce point évoqué lorsqu'on parlait du Bulldog, c'est principalement parce que ce sport était très largement relayé par les médias et par les lois qui l'entouraient. La vérité était probablement moins sensationnelle. La plupart des chiens étaient utilisés pour le travail, alors qu'une petite partie était utilisée pour les combats.

Lors des combats, qui s'apparentaient plus à un moyen de gagner de l'argent grâce aux paris qu'à un véritable sport, les chiens devaient avoir une prise sur le taureau et ne plus le lâcher. Le gagnant était celui qui parvenait à éviter les coups de pieds et de cornes du taureaux et à tenir sa prise le plus longtemps. Les meilleurs chiens tenaient leur prise jusqu’à ce que le taureau s'effondre d'épuisement. Les chiens étaient souvent projetés en l'air, provoquant des fractures des pattes, du dos ou du crâne au moment où ils touchaient le sol. Les histoires de chiens aux multiples fractures tentant de retourner vers le taureau victorieux en rampant sont légion. Mais dans l'ensemble, les chiens et le taureau souffraient énormément.

De plus en plus de voix s'élevèrent contre ces combats. L'argument servi au public comme quoi le combat rendait la viande plus tendre avant l'abattage permit de repousser une éventuelle législation en la matière. Mais en 1835, le Parlement fut forcé de bannir ce sport et d'édicter une loi.

Le Pit Ratting était une autre activité autour de laquelle les paris florissaient. L'arène était une sorte d'enclos fermé de six pieds sur six, avec des murs en bois. Les chiens devaient tuer un maximum de rats en un temps donné. Divers types de chiens participaient à ce sport : des Terriers pour les plus petits et des Bulldogs pour les plus gros. Ainsi, il semblerait que le Pit Ratting ait contribué à l'apparition des Half and Half (moitié Terrier, moitié Bulldog) qui devinrent rapidement très populaires. Les races considérées comme la partie « Terrier » des Bull and Terrier sont le White English Terrier (race éteinte), ainsi que sont descendant, le Black and Tan Terrier, connu actuellement sons le nom de Manchester Terrier et le Fox Terrier. Il est probable que des terriers d'Écosse aient également participé à ce mélange, car le Pit Ratting était très populaire dans cette région notamment aux environs d'Aberdeen.

Origines

Alors que les combats contre les taureaux disparaissaient peu à peu suite à la loi de 1835, les gens commencèrent à se tourner vers les combats entre chiens et portèrent bien évidemment leur choix sur le Bulldog. La sélection donna naissance à un Bulldog plus belliqueux envers les autres chiens, de plus petite taille et plus agile, afin d'être plus performant dans l'arène. Alors que le Bulldog était aimé pour sa puissance et son gameness, il manquait d'agilité et était trop grand. Ainsi, les croisements entre les Bulldogs et les Terriers commencèrent probablement à cette époque en Grande Bretagne. Ces croisement donnèrent naissance à des chiens connus sous les noms de Bull and Terrier, Half and Half et Pit Terrier. Les passionnés de combats sélectionnaient des chiens avec comme seul leitmotiv leur habilité au combat, tandis que le Bulldog original était toujours très populaire dans les fermes et continuait à être sélectionné pour les tâches qu'il avait l'habitude d'accomplir jusqu'ici. Les dogmen de l'époque ne recherchaient pas des chiens de pure race mais des chiens ayant des capacités au combat. C'est pourquoi les chiens étaient sélectionnés sur leur gameness et non sur leur pedigree.

A ce stade de l'histoire, il faut savoir qu'il existe deux écoles. La deuxième version, exposée notamment par Richard Stratton, pose la question de savoir pourquoi avoir dilué le sang du chien de combat parfait avec le sang des Terriers, dépourvus de gameness. L'argument classique est de dire que le sang de Terrier augmente l'agilité et diminue la taille. Cependant, le travail demandé aux Bulldogs nécessitait déjà de l'agilité et de l'habilité afin d'éviter les coups portés par le taureau. La taille et la physionomie des Bulldogs étant relativement hétérogènes, il n'aurait pas été très difficile de diminuer la taille des chiens pour qu'ils soient plus compatibles avec l'arène. En examinant certaines représentations artistiques de l'époque, on peut clairement s'apercevoir que les Bulldogs ne différaient que très peu de nos Pit Bulls actuels. C'est pourquoi, de l'avis de certains, le Pit Bull moderne est principalement issu des anciens Bulldogs. Ils attribuent la croyance populaire selon laquelle du sang de Terrier à été ajouté au Bulldog à un confusion avec l'histoire de l'English Bull Terrier, qui est une race totalement distincte mais dont le passé est extrêmement bien documenté.

Ces chiens de combat furent importés en Amérique par les immigrants britanniques et irlandais à la fin des années 1800 et utilisés de la même manière qu'ils l'étaient en Grande-Bretagne. Alors que le cheptel resté en Grande-Bretagne allait évoluer afin de devenir l'actuel Staffordshire Bull Terrier (reconnu en 1935 par le Kennel Club britannique), l'Amérique était le terrain rêvé pour le développement du chiens de combat ultime. Les Bull and Terrier commencèrent alors à être sélectionnés pour leur aptitude au combat, leur implacable bravoure, une résistance extrême à la douleur, leur flexibilité, la volonté inébranlable de combattre jusqu’à la fin et leur inégalable tendresse envers l'être humain. Si ce dernier trait de caractère était aussi important pour les dogmen de l'époque, c'est bien évidemment afin d'obtenir des chiens facilement manipulables alors même qu'ils étaient épuisés et surtout en train d'endurer des souffrances extrêmes dues aux blessures infligées lors des combats. Les chiens qui n'étaient pas aptes au combat ou qui montraient le moindre signe d'agressivité envers l'être humain étaient tués ou tout du moins écartés de la sélection. Bien qu'on ne saura probablement jamais avec une totale certitude quelles sont les races qui ont conduit à la création de l'American Pit Bull Terrier moderne, il convient encore une fois de rappeler que ces chiens ont toujours été sélectionnés sur leur tempérament et non sur leur apparence. Par le biais d'une sélection intensive sur les traits mentionnés plus haut, ces chiens sont les fondements de l'American Pit Bull Terrier, tel que nous le connaissons actuellement lorsqu'il est élevé et sélectionné comme il se doit.

A cette époque, les Pit Bulls étaient de taille bien plus petite que ceux que nous pouvons rencontrer de nos jours. En effet, leur poids excédait rarement 25 livres. De 1900 à 1975, on peut penser que la taille moyenne a légèrement augmenté. Cependant, c'est surtout depuis que le Pit Bull n'est plus utilisé comme chien de combat que sa taille a considérablement augmenté, notamment à cause d'éleveurs néophytes qui, dans les années 1980, ont profité de l'effet de mode suscité par le Pit Bull et répondu à une demande pour des chiens de plus en plus gros.

Alors que l'Amérique prospérait, le Pit Bull se développait. Comme le Bulldog, il était également utilisé pour la chasse, la garde de troupeaux, le weight pulling et simplement comme compagnon fidèle et loyal. Il était l'une des races les plus populaires, le chien chéri de l'Amérique, admiré, respecté et aimé.

Le Pit Bull se popularise

En 1898, Chauncy Bennet créa le United Kennel Club (UKC). L'UKC, à l'époque où les combats étaient encore largement acceptés en tant que sport, s'occupait de l'enregistrement des chiens et de l'édition de règlements pour les combats. C'est ainsi que naquit l'American Pit Bull Terrier en tant que race proprement dite. Le but de l'UKC était d'enregistrer les chiens de compétition. Afin d'y pouvoir enregistrer son chien, il fallait qu'il ait gagné trois combats. Plus tard, alors que les combats furent déclarés illégaux, l'UKC devint un registre pour toutes les races, axé sur le travail et la performance. L'UKC est maintenant le deuxième plus grand registre aux USA, muni d'un règlement strict qui bannit toute personne rendue coupable de participer à des combats de chiens.

L'ADBA (American Dog Breeders Association) est l'autre registre qui fut créé spécifiquement pour le Pit Bull, en 1909. L'ADBA a été fondé par Guy McCord qui était un proche des pères fondateurs de la race. Les fondateurs de l'ADBA ont décidé de créer ce registre parce qu'ils pensaient que l'UKC ne faisait pas correctement son travail de préservation de la race. Son but, demeuré inchangé depuis la première heure, est d'enregistrer, de promouvoir et de préserver l'APBT original en tant que chien de type combat.

En 1936, afin de faire face à la demande, l'American Kennel Club (AKC) accepta d'enregistrer les Pit Bulls. Mais ils le furent sous le nom de Staffordshire Terrier afin de se distancier de l'univers des combats. Beaucoup de chiens furent enregistrés auprès des deux registres, l'UKC et l'AKC. Avant 1936, l'American Pit Bull Terrier et le Staffordshire Terrier étaient deux races identiques, mais dès cette date, les Staffordshire Terriers commencèrent à être sélectionnés sur des critères physiques (tête plus carrée, poitrine et joues plus larges) plutôt que sur leur tempérament. L'AKC finit par fermer son registre aux APBT en acceptant uniquement d'enregistrer des chiens dont les deux parents étaient enregistrés comme Staffordshire Terrier. Il fut néanmoins rouvert aux American Pit Bull Terriers pour une courte période durant les années 1970. En 1972, le nom de Staffordshire Terrier fut changé en American Staffordshire Terrier (Am'Staff). L'ADBA et l'UKC autorisent l'enregistrement des Am'Staffs, mais sous le nom d'American Pit Bull Terrier.

De nos jours, à cause notamment d'un patrimoine génétique plutôt faible, l'Am Staff s'est développé avec un phénotype relativement restreint. Alors que le phénotype de l'APBT varie plus fortement bien que la taille et les proportions soient restées relativement constantes. On verra rarement un chien de plus de 60 livres dans la cour d'un bon éleveur. Bien que l'Am Staff et l'APBT aient exactement les mêmes origines, force est de constater qu'ils diffèrent passablement aujourd'hui. Cette différence est due à l'existence de deux modes de sélection bien distincts : un sélection axée exclusivement sur le mental et le tempérament pour l'APBT et une sélection axée presque uniquement sur l'apparence physique pour l'Am Staff.

Le chien le plus aimé d'Amérique du Nord

L'American Pit Bull Terrier devint l'une des races les plus appréciées aux États-Unis, un chien estimé et aimé par une large partie de la population. Il fut utilisé pour représenter les États-Unis lors de la Première Guerre mondiale. Des entreprises très populaires l'utilisèrent pour promouvoir leurs marques. Dans la série de télévision « Our Gang » un Pit Bull nommée Petie accompagnait une adorable bande de gamins appelés « les petites canailles » (The little rascals). Des personnages célèbres comme Charlie Chaplin, Theodore Roosevelt ou Helen Keller possédaient des Pit Bulls. En 1917, Stubby, un Pit Bull, devient le chien le plus décoré de l'histoire pour avoir sauvé plusieurs soldats et capturé un espion allemand alors qu'il servait dans les tranchées françaises avec la 26e Division.

Ce fut donc à cette époque que le Pit Bull devint la race la plus aimée, admirée et respectée d'Amérique. Rien n'a d'ailleurs changé aux yeux de ceux qui connaissent réellement l'APBT et qui ont eu l'occasion de connaître un digne représentant de la race, bien élevé et bien socialisé.

La bête noire

Entre la fin de la Deuxième Guerre mondiale et les années 1980, le Pit Bull sombra quelque peu dans l'oubli du public. Dans les années 1980, le Pit Bull devint un chien à la mode. Ce fut à cette période qu'apparut toute une multitude d'éleveurs ne connaissant absolument rien à la race mais bien décidés à profiter de cet effet de mode. Bien évidemment, ce fut également durant cette période que les problèmes surgirent. Ces éleveurs n'adhéraient pas aux principes fondamentaux qui avaient guidé les passionnés de la race pendant près de 200 ans. Précisément, ces éleveurs commencèrent à produire en masse dans le seul but de gagner de l'argent. Pire encore, certains éleveurs sans scrupules se mirent à baser leur sélection sur un tempérament totalement opposé à celui qui avait toujours prévalu jusqu’à maintenant : il commencèrent à sélectionner des chiens pour leur agressivité envers l'être humain. En très peu de temps, certains individus se retrouvèrent à posséder et à élever des Pit Bulls agressifs envers l'être humain, sans aucune attention portée à la sélection. Ceci, additionné à la couverture médiatique de certains drames causés par ces chiens, donna naissance à une hystérie anti Pit Bulls qui perdure encore aujourd'hui.

Conclusion

Malgré l'arrivée de ces éleveurs peu scrupuleux, on trouve encore aujourd'hui des éleveurs passionnés, avec une grande connaissance de la race et produisant des chiens avec le tempérament qu'on leur connaît depuis près de 200 ans. L'American Pit Bull Terrier, dans sa vaste majorité, reste un chien extrêmement gentil avec l'être humain et spécialement avec les enfants. L'American Canine Temperament Testing Association, qui s'occupe de tester le tempérament des chiens pour les concours, mentionne que 95 % des American Pit Bull Terriers ont passé le test, contre une moyenne de 77 % toutes races confondues. Le taux de réussite de l'American Pit Bull Terrier est le 4e plus élevé de toutes les races testées.

De nos jours, bien qu'encore utilisé illégalement ou légalement (dans certains pays) pour les combats, le Pit Bull est devenu, dans sa large majorité, un chien de compagnie ou de travail merveilleux. Ils sont utilisés comme chiens de police ou de l'armée, comme chiens de décombres et de secours ou comme chiens de troupeau. Ils sont présents dans différents types de compétitions comme l'agility, l'obéissance, le mordant sportif ou encore le ring français. Ils sont en fait l'une des races les plus polyvalentes qui existe.

Photo de William Martinez.
Photo de William Martinez.

 






Le chien dominant

10/11/2014 01:57

Le chien dominant


Quelle attitude adopter avec un compagnon un peu trop dominant ? Une spécialiste du comportement donne toutes ses astuces...

http://www.dailymotion.com/video/xug4y9_le-chien-dominant_animals






Comment nettoyer les oreilles de mon chien ?

10/11/2014 01:51

Comment nettoyer les oreilles de mon chien ?


http://www.youtube.com/watch?v=KfPZv7O4ge0&app=desktop






Comment couper les griffes de mon chien ?

10/11/2014 01:49



http://www.youtube.com/watch?v=_LJfTSevjK8&app=desktop






Entretenir le poil de son chien

10/11/2014 01:46

Entretenir le poil de son chien


http://www.ecoledeschiens.com/laver-chien.html






Des recettes pour chien 100% maison

10/11/2014 01:42



Le parti pris du docteur Pitcairn est d’améliorer les standards requis pour la nourriture industrielle pour chien, qu’il trouve trop élevés en glucides (jusqu’à 67 %) et insuffisants en protéines (de l’ordre de 18 %) et en lipides (plus ou moins 5 %).

Ses préparations boostent la ration en protéines et en lipides : de l’ordre de 30 % pour les premières, entre 17 et 30 % pour les seconds, selon les recettes. Il est important de respecter un certain équilibre entre protéines et lipides, car une ration trop grasse (en huile ou en viande) va rassasier votre animal sans qu’il ait peut-être reçu la dose de protéines dont il a besoin.

Pâté campagnard pour chien

Cette recette utilise l’œuf comme liant et peut être servie crue ou cuite. Comme mes chiens reconnaissent les effluves émanant de sa cuisson au four, je dois ensuite le faire refroidir bien à l’abri de leur ardente gourmandise ! Cette préparation contient environ 30 % de protéines, 25 % de lipides et 42 % de glucides.

1 tasse (220 g) de viande de boeuf hachée maigre (ou poulet, dinde)
6 tranches de pain complet pilées
1 tasse de lait entier frais
2 oeufs
1 cuillerée à café de poudre santé
1/2 cuillerée à café bombée de poudre de coquilles d’oeufs
1 cuillerée à café d’huile végétale
65 à 70 mg de vitamine E (en capsule)
1/4 de tasse de légumes (maïs ou autre) (facultatif)
1/4 de cuillerée à café de sel iodé (facultatif)

Mélangez tous les ingrédients en ajoutant un peu d’eau si besoin. Servez cru ou tassez la pâte dans un plat à gratin sur une épaisseur de 3 à 4 cm et cuisez à 180 °C pendant 20 à 30 minutes.
NB : ce pain de viande cuit peut aussi être coupé en petites tranches en guise de friandises !

Ration journalière (à diviser par deux si vous ne la servez que le matin)
Toy (moins de 7 kg, type Yorkshire) : 1 à 2 tasses.
Petit (moins de 12 kg, type Westie) : environ 4 tasses.
Moyen (moins de 25 kg, type Border Collie) : 5 à 7 tasses.
Grand (moins de 40 kg, type Golden Retriever) : 8 à 9 tasses.
Géant (plus de 40 kg, type Terre-Neuve) : 10 tasses et plus.
1 tasse de pâté campagnard = 200 calories environ.

La recette pour chien tout en un !

Facile à cuisiner et à retenir, cette recette de nourriture pour chien requiert une unité de chaque ingrédient. Elle a aussi l’avantage d’être économique et écologique parce qu’une partie des protéines provient de haricots secs. Le ratio calcium/phosphore est correct quoique un peu limite.

1 tasse de riz brun non cuit (soit environ 2 et demi tasses de riz cuit pendant 35 à 45 minutes)
1 tasse de boeuf haché maigre (environ 220 g)
1 tasse de haricots de Soissons cuits
1 cuillerée à soupe de poudre santé
1 cuillerée à soupe d’huile végétale
1 cuillerée à café rase de poudre de coquilles d’oeufs (soit 1,5 g de calcium)
1 gélule de vitamines A et D (environ 6 650 mg)
270 à 530 mg de vitamine E en capsule
1 petite gousse d’ail écrasée (facultatif) 

Si vous souhaitez apporter plus de protéines, vous pouvez rajouter un oeuf ou une cuillerée à soupe de levure diététique, ou encore remplacer le riz complet par 2 tasses de fl ocons d’avoine cuits dans 4 tasses d’eau (on obtient 4 tasses de céréales cuites). 

Rations journalières 
Toy (moins de 7 kg, type Yorkshire) : 1 à 2 tasses.
Petit (moins de 12 kg, type Westie) : environ 4 tasses.
Moyen (moins de 25 kg, type Border Collie) : 5 à 7 tasses.
Grand (moins de 40 kg, type Golden Retriever) : 8 à 9 tasses.
Géant (plus de 40 kg, type Terre-Neuve) : 9 à 10 tasses et plus.

Les « Doggie oats »

Les flocons d’avoine cuisent vite et apportent un fort taux de protéines. Néanmoins, n’hésitez pas à utiliser de temps à autre d’autres céréales pour leurs apports variés en vitamines, minéraux et leur composition en acides aminés – sachant qu’une tasse d’avoine « cru » équivaut à une demi-tasse de boulgour, millet, orge.

Mes chiens se régalent quand je remplace la viande par un petit demi-litre (450 g) de cottage cheese et 4 oeufs, et verse le tout sur de la graine de couscous complète bien cuite. Idéal pour une pause végétarienne bien protéinée !

5 tasses de flocons d’avoine (soit environ 11 tasses, cuits)
6 tasses de dinde en morceaux
1/4 de tasse d’huile végétale
1 tasse de légumes cuits
6 cuillerées à soupe de poudre santé
5 600 mg de calcium (3 cuillerées à café rases de poudre de coquilles d’oeufs ou dosage approprié d’une poudre d’os)
6 700 mg de vitamine A (facultatif si vous utilisez des carottes)
270 mg de vitamine E
1 ou 2 gousses d’ail écrasées (facultatif)

Faites bouillir 10 tasses d’eau. Coupez le feu avant de verser les flocons. Laissez-les ramollir sans tourner pendant 10 à 15 minutes. Mélangez avec les autres ingrédients et servez !

La ration ménagère pour le chien

Pour 1 kg de préparation (soit la ration quotidienne pour un chien pesant une vingtaine de kilos, ayant un besoin énergétique de 1 250 calories/jour) :
330 g de viande (poulet, dinde, canard, poisson)
400 g de riz semi-complet bien cuit
280 g de légumes (50 % de carottes, 50 % de courgettes ou haricots verts, poireaux…)
15 g de complément minéral (rapport calcium/phosphore = 2)
1 cuillerée à café d’huile de colza ou de soja

Besoins journaliers caloriques moyens pour un chien adulte 
4,5 kg : 410 cal
7 kg : 550 cal
11 kg : 840 cal
18 kg : 1 150 cal
23 kg : 1 380 cal
27 kg : 1 555 cal
32 kg : 1 690 cal
36 kg : 1 890 cal 45 kg : 2 270 cal 

NB : c’est une moyenne qui varie en fonction de l’âge, du tempérament, du niveau d’activité, de la température extérieure… Contrôlez régulièrement l’embonpoint en tâtant les côtes de votre chien.

Ration ménagère, discipline de fer !  Sur le papier, une ration maison bien équilibrée est idéale, mais, en pratique, ce choix impose de suivre à la lettre la recette qui convient à votre chien. Les bricolages les mieux intentionnés peuvent déclencher ballonnements et diarrhées, assortis d’inévitables carences en vitamines et minéraux extrêmement répandues dans ce type d’alimentation ! Gare notamment au déséquilibre calcium/ phosphore.

Rappel : équivalences 
1 tasse de liquide (eau, lait) = 250 ml
1 tasse de fl ocons d’avoine = 100 g
1 tasse de son de blé = 80 g
1 tasse de riz cru = 230 g
1 tasse de viande = 220 g environ






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